A 25 ans, Théo Février tourne une page de sa vie pour découvrir le monde. Il part en Amérique du Sud pour un voyage en sac à dos, sans ambitions particulières. Après un mois à sillonner les terres équatoriennes, il déclare que voyager en bus dans les lieux touristiques ne lui offrira pas ce qu’il est venu chercher.
Alors, sur un coup de tête, il décide de voyager sans moyen motorisé pour découvrir le monde et rencontrer les populations qui habitent les régions reculées du continent pour sensibiliser à la dégradation des écosystèmes. De ce voyage émerge de nouvelles idées qui ont pour but de surpasser ses limites.
Il choisit de consacrer sa vie au voyage et à la réalisation, afin de faire prendre conscience des enjeux climatiques et sociaux de notre monde, au travers de films et d’échanges.
Découvrir le monde tel un observateur de notre vivant, sans objectif d’impacter la fragilité de nos écosystèmes, voilà ce qu’il inspire à partager dans ces œuvres.
Un coup de tête, une décision de dernière minute, un changement de vie radicale. L’ambition de Théo Février de tourner une page de sa vie prend son sens dans la réalisation d’un voyage en Amérique du Sud.
Après un mois à sillonner les terres équatoriennes, il déclare que voyager en bus dans les lieux touristiques ne lui offrira pas ce qu’il est venu chercher. Alors il s’équipe d’un vélo et se lance le défi de traverser le continent Sud-Américain, de Carthagène des Indes en Colombie, à Ushuaïa en Argentine. Il ne se limite pas seulement au vélo puisqu’il choisit de laisser celui-ci en Équateur pour traverser une partie de l’Amazonie en totale autonomie sur le Rio Napo, un affluent de l’Amazone. Ce voyage lui ouvre les portes de la résilience, du surpassement de soi, et de l’ouverture aux autres.
Pour donner davantage de sens à son projet, il établit un partenariat avec l’association Cœur de Forêt pour récolter des fonds et sensibiliser sur la déforestation des espaces forestiers dans le monde.
270 jours, 14 000 km et 150 000 mètres de dénivelé positif à vélo, en solitaire, pour descendre la cordillère des Andes et les déserts infinis du continent. 18 jours et 950 km en canoë, en autonomie totale, pour rencontrer les populations qui habitent les rives du Rio Napo.
La solitude qu’il traverse pendant tout son voyage lui permet de se recentrer sur lui-même, de s’ouvrir aux rencontres fortuites et de découvrir une force mentale qu’il n’avait jamais contemplé auparavant.
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